Canaux sensoriels : Différence entre versions

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Même si la Programmation Neuro-Linguistique souffre encore de certaines interprétations approximatives en ce qui concerne le comportement de l'appareil visuel<ref>{{lien web|auteur=Alain Moenaert|titre=Neurosciences et accès oculaires|url=http://www.alainmoenaert.eu/textes10.htm|site=Site personnel d'Alain Moenaert|date=|consulté le=19 février 2011}}.</ref> et qu'il est très probable que le modèle en PNL des accès oculaires est {{Citation|texte=affinable}}, néanmoins, avec la version actuelle du modèle des accès oculaires, la PNL peut déjà réaliser des changements importants<ref name="Thiry, 2006,p.46">{{harvsp|id=Thiry, 2006|auteur=Alain Thiry, 2006|p=46}}.</ref> et utiles<ref>{{harvsp|id=Thiry, 2007|auteur=Alain Thiry, 2007|p=148}}.</ref>.
 
Même si la Programmation Neuro-Linguistique souffre encore de certaines interprétations approximatives en ce qui concerne le comportement de l'appareil visuel<ref>{{lien web|auteur=Alain Moenaert|titre=Neurosciences et accès oculaires|url=http://www.alainmoenaert.eu/textes10.htm|site=Site personnel d'Alain Moenaert|date=|consulté le=19 février 2011}}.</ref> et qu'il est très probable que le modèle en PNL des accès oculaires est {{Citation|texte=affinable}}, néanmoins, avec la version actuelle du modèle des accès oculaires, la PNL peut déjà réaliser des changements importants<ref name="Thiry, 2006,p.46">{{harvsp|id=Thiry, 2006|auteur=Alain Thiry, 2006|p=46}}.</ref> et utiles<ref>{{harvsp|id=Thiry, 2007|auteur=Alain Thiry, 2007|p=148}}.</ref>.
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== Les mouvements oculaires ==
  
 
[[Fichier:Mouvements-oculaires-PNL.jpg|200px|thumb|upright=1.9|Schéma de la technique de lecture des mouvements oculaires. <br /> * Vc : Visuel construit. <br /> * Vr : Visuel remémoré. <br /> * Ac : Auditif construit. <br /> * Ar : Auditif remémoré. <br /> * K : Kinesthésique. <br /> * Ai : Auditif interne ou Dialogue intérieur<ref>{{harvsp|id=Dilts, 2004|auteur=Robert Dilts, 2004|p=224}}.
 
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== Les mouvements oculaires ==
 
  
 
La Programmation Neuro-Linguistique considère qu'il y a une corrélation entre les mouvements oculaires et les canaux sensoriels utilisés dans une stratégie. Pour simplifier, et en prenant le point de vue de celui qui fait face à l’interlocuteur, les yeux vont vers le haut quand la pensée est relative à une image (visuel), vers horizontal quand c’est relatif à un son (auditif) et enfin vers le bas quand c’est relatif à une émotion ou à une sensation corporelle (kinesthésie)<ref name="BandlerGrinder1982,p.44">{{harvsp|id=BandlerGrinder, 1982|auteur=Richard Bandler et John Grinder, 1982|p=44}}.</ref>. Ainsi, dans le cas d'un schéma mental classique (80 % des droitiers et 50 % des gauchers)<ref>{{harvsp|id=Thiry, 2007|auteur=Alain Thiry, 2007|p=39}}.</ref>, les yeux de l’interlocuteur vont à sa gauche quand il relate un fait passé; par contre les yeux de l’interlocuteur vont à sa droite quand il imagine, invente ou se souvient par reconstruction du passé. C’est le cas des personnes peu visuelles à qui on demande un souvenir visuel qu’elles sont donc obligées de reconstruire à partir d’autres souvenirs<ref>{{harvsp|id=Butteau, 1997|auteur=Patrick Butteau, 1997|p=44}}.</ref>.
 
La Programmation Neuro-Linguistique considère qu'il y a une corrélation entre les mouvements oculaires et les canaux sensoriels utilisés dans une stratégie. Pour simplifier, et en prenant le point de vue de celui qui fait face à l’interlocuteur, les yeux vont vers le haut quand la pensée est relative à une image (visuel), vers horizontal quand c’est relatif à un son (auditif) et enfin vers le bas quand c’est relatif à une émotion ou à une sensation corporelle (kinesthésie)<ref name="BandlerGrinder1982,p.44">{{harvsp|id=BandlerGrinder, 1982|auteur=Richard Bandler et John Grinder, 1982|p=44}}.</ref>. Ainsi, dans le cas d'un schéma mental classique (80 % des droitiers et 50 % des gauchers)<ref>{{harvsp|id=Thiry, 2007|auteur=Alain Thiry, 2007|p=39}}.</ref>, les yeux de l’interlocuteur vont à sa gauche quand il relate un fait passé; par contre les yeux de l’interlocuteur vont à sa droite quand il imagine, invente ou se souvient par reconstruction du passé. C’est le cas des personnes peu visuelles à qui on demande un souvenir visuel qu’elles sont donc obligées de reconstruire à partir d’autres souvenirs<ref>{{harvsp|id=Butteau, 1997|auteur=Patrick Butteau, 1997|p=44}}.</ref>.
  
 
Ce modèle ne peut donc pas servir de détecteur de mensonge. Cependant, l'interlocuteur peut posséder un schéma mental inversé : au lieu de se souvenir avec les yeux à leur gauche, ceux-ci vont à leur droite<ref name="Thiry, 2006,p.46"/>. Par conséquent, pour connaître le schéma de votre interlocuteur, le PNListe n'a pas d'autre choix que de lui poser des questions de type : {{Citation|texte=Qu’as-tu regardé à la télévision hier soir ?}}<ref>{{harvsp|id=Thiry, 2006|auteur=Alain Thiry, 2006|p=47}}.</ref> Si la personne questionnée regarde à chaque fois à sa gauche, on peut faire l'hypothèse qu'il a le schéma classique. S'il va à sa droite, il est probable qu'il ait le schéma inversé. Le kinesthésique{{#tag:ref|Il faut comprendre par kinesthésique, par métonymie : {{citation|texte=une personne qui a tendance à privilégier le canal kinesthésique}}. Ce n'est pas une question d'identité, mais bien de méta-programmes (attitudes mentales). Pour des raisons de facilité d'expression, les PNListes ont tendance à abréger par : {{citation|texte=le Kinesthésique}}, {{citation|texte=le Visuel}} ou {{citation|texte=l'Auditif}} respectivement<ref>{{harvsp|id=Thiry, 2007|texte=Alain Thiry, 2007|p=38}}.</ref>|group="Note"}} fait référence au toucher mais aussi à tout le ressenti que l’on peut avoir par le corps.
 
Ce modèle ne peut donc pas servir de détecteur de mensonge. Cependant, l'interlocuteur peut posséder un schéma mental inversé : au lieu de se souvenir avec les yeux à leur gauche, ceux-ci vont à leur droite<ref name="Thiry, 2006,p.46"/>. Par conséquent, pour connaître le schéma de votre interlocuteur, le PNListe n'a pas d'autre choix que de lui poser des questions de type : {{Citation|texte=Qu’as-tu regardé à la télévision hier soir ?}}<ref>{{harvsp|id=Thiry, 2006|auteur=Alain Thiry, 2006|p=47}}.</ref> Si la personne questionnée regarde à chaque fois à sa gauche, on peut faire l'hypothèse qu'il a le schéma classique. S'il va à sa droite, il est probable qu'il ait le schéma inversé. Le kinesthésique{{#tag:ref|Il faut comprendre par kinesthésique, par métonymie : {{citation|texte=une personne qui a tendance à privilégier le canal kinesthésique}}. Ce n'est pas une question d'identité, mais bien de méta-programmes (attitudes mentales). Pour des raisons de facilité d'expression, les PNListes ont tendance à abréger par : {{citation|texte=le Kinesthésique}}, {{citation|texte=le Visuel}} ou {{citation|texte=l'Auditif}} respectivement<ref>{{harvsp|id=Thiry, 2007|texte=Alain Thiry, 2007|p=38}}.</ref>|group="Note"}} fait référence au toucher mais aussi à tout le ressenti que l’on peut avoir par le corps.
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Dans ce sens, l’olfactif et le goût sont souvent abordés comme du kinesthésique, même si les vocabulaires spécifiques peuvent être très différents. Est qualifié de « visuel » quelqu’un qui privilégie le sens de la vue pour organiser son expérience et pour communiquer. Il retrouve ses souvenirs par l’impression visuelle qu’il en a et il s’exprime avec un vocabulaire lié à la vision. Par exemple une personne qui a souvent recours à des formules de type : {{citation|texte=J’imagine que}} ou encore {{citation|texte=Je vois bien que}} et enfin {{citation|texte=c’est clair}} a de grandes chances d'être un visuel. Quelqu’un qualifié d’« auditif » privilégie les perceptions auditives pour organiser et accéder à son expérience. Quelqu’un qui privilégie le canal auditif associera volontiers un numéro de téléphone à une rengaine par exemple. Il emploie un vocabulaire de registre auditif, au moyen par exemple, de formules de type : {{citation|texte=J’entends bien}} ou encore {{citation|texte=Ce que vous me dites fait écho à}}. Les « kinesthésiques » sont ceux qui d’une façon générale utilisent leur ressenti physique (mouvements, postures, équilibres) pour organiser leur expérience et y accéder. Le vocabulaire privilégié alors fait référence à ces domaines : {{citation|texte=Garder les pieds sur terre}}, {{citation|texte=Je me prends la tête}} ou {{citation|texte=Cet exemple est frappant !}}, {{citation|texte=C’est tout bon !}} ou encore {{citation|texte=il n’est pas en odeur de sainteté}}<ref>{{harvsp|id=David, 2004|auteur=Isabelle David, France Lafleur et Johanne Patry, 2004|p=51}}.</ref>.
 
Dans ce sens, l’olfactif et le goût sont souvent abordés comme du kinesthésique, même si les vocabulaires spécifiques peuvent être très différents. Est qualifié de « visuel » quelqu’un qui privilégie le sens de la vue pour organiser son expérience et pour communiquer. Il retrouve ses souvenirs par l’impression visuelle qu’il en a et il s’exprime avec un vocabulaire lié à la vision. Par exemple une personne qui a souvent recours à des formules de type : {{citation|texte=J’imagine que}} ou encore {{citation|texte=Je vois bien que}} et enfin {{citation|texte=c’est clair}} a de grandes chances d'être un visuel. Quelqu’un qualifié d’« auditif » privilégie les perceptions auditives pour organiser et accéder à son expérience. Quelqu’un qui privilégie le canal auditif associera volontiers un numéro de téléphone à une rengaine par exemple. Il emploie un vocabulaire de registre auditif, au moyen par exemple, de formules de type : {{citation|texte=J’entends bien}} ou encore {{citation|texte=Ce que vous me dites fait écho à}}. Les « kinesthésiques » sont ceux qui d’une façon générale utilisent leur ressenti physique (mouvements, postures, équilibres) pour organiser leur expérience et y accéder. Le vocabulaire privilégié alors fait référence à ces domaines : {{citation|texte=Garder les pieds sur terre}}, {{citation|texte=Je me prends la tête}} ou {{citation|texte=Cet exemple est frappant !}}, {{citation|texte=C’est tout bon !}} ou encore {{citation|texte=il n’est pas en odeur de sainteté}}<ref>{{harvsp|id=David, 2004|auteur=Isabelle David, France Lafleur et Johanne Patry, 2004|p=51}}.</ref>.
  
 
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Version du 2 août 2016 à 16:55

En Programmation Neuro-Linguistique, la technique dite des « canaux sensoriels » (ou VAKOG, acronyme pour : « Visuel, Auditif, Kinesthésique, Olfactif, Gustatif ») pose que la relation au monde extérieur passe nécessairement par au moins l’un des cinq sens.

Canal privilégié

Chacun fonctionne comme un filtre perceptif lié à la mémorisation. Au fil du temps chaque sujet favorise un, voire deux, de ces cinq sens[1]. Chaque individu possède un mode de communication privilégié et son expression reflète cet état de fait. Ainsi, dans le modèle VAKOG, le postulat est que ce sont les sens qui mettent en relation le sujet avec l'environnement.

Même si la Programmation Neuro-Linguistique souffre encore de certaines interprétations approximatives en ce qui concerne le comportement de l'appareil visuel[2] et qu'il est très probable que le modèle en PNL des accès oculaires est affinable, néanmoins, avec la version actuelle du modèle des accès oculaires, la PNL peut déjà réaliser des changements importants[3] et utiles[4].

Prédicats

Les mouvements oculaires

Schéma de la technique de lecture des mouvements oculaires.
* Vc : Visuel construit.
* Vr : Visuel remémoré.
* Ac : Auditif construit.
* Ar : Auditif remémoré.
* K : Kinesthésique.
* Ai : Auditif interne ou Dialogue intérieur[5].

La Programmation Neuro-Linguistique considère qu'il y a une corrélation entre les mouvements oculaires et les canaux sensoriels utilisés dans une stratégie. Pour simplifier, et en prenant le point de vue de celui qui fait face à l’interlocuteur, les yeux vont vers le haut quand la pensée est relative à une image (visuel), vers horizontal quand c’est relatif à un son (auditif) et enfin vers le bas quand c’est relatif à une émotion ou à une sensation corporelle (kinesthésie)[6]. Ainsi, dans le cas d'un schéma mental classique (80 % des droitiers et 50 % des gauchers)[7], les yeux de l’interlocuteur vont à sa gauche quand il relate un fait passé; par contre les yeux de l’interlocuteur vont à sa droite quand il imagine, invente ou se souvient par reconstruction du passé. C’est le cas des personnes peu visuelles à qui on demande un souvenir visuel qu’elles sont donc obligées de reconstruire à partir d’autres souvenirs[8].

Ce modèle ne peut donc pas servir de détecteur de mensonge. Cependant, l'interlocuteur peut posséder un schéma mental inversé : au lieu de se souvenir avec les yeux à leur gauche, ceux-ci vont à leur droite[3]. Par conséquent, pour connaître le schéma de votre interlocuteur, le PNListe n'a pas d'autre choix que de lui poser des questions de type : Qu’as-tu regardé à la télévision hier soir ?[9] Si la personne questionnée regarde à chaque fois à sa gauche, on peut faire l'hypothèse qu'il a le schéma classique. S'il va à sa droite, il est probable qu'il ait le schéma inversé. Le kinesthésique[Note 1] fait référence au toucher mais aussi à tout le ressenti que l’on peut avoir par le corps.


Dans ce sens, l’olfactif et le goût sont souvent abordés comme du kinesthésique, même si les vocabulaires spécifiques peuvent être très différents. Est qualifié de « visuel » quelqu’un qui privilégie le sens de la vue pour organiser son expérience et pour communiquer. Il retrouve ses souvenirs par l’impression visuelle qu’il en a et il s’exprime avec un vocabulaire lié à la vision. Par exemple une personne qui a souvent recours à des formules de type : J’imagine que ou encore Je vois bien que et enfin c’est clair a de grandes chances d'être un visuel. Quelqu’un qualifié d’« auditif » privilégie les perceptions auditives pour organiser et accéder à son expérience. Quelqu’un qui privilégie le canal auditif associera volontiers un numéro de téléphone à une rengaine par exemple. Il emploie un vocabulaire de registre auditif, au moyen par exemple, de formules de type : J’entends bien ou encore Ce que vous me dites fait écho à. Les « kinesthésiques » sont ceux qui d’une façon générale utilisent leur ressenti physique (mouvements, postures, équilibres) pour organiser leur expérience et y accéder. Le vocabulaire privilégié alors fait référence à ces domaines : Garder les pieds sur terre, Je me prends la tête ou Cet exemple est frappant !, C’est tout bon ! ou encore il n’est pas en odeur de sainteté[11].

Selon la PNL, il n'y pas de bon et de mauvais canal. Il suffit juste de tenir compte du canal que l'interlocuteur privilégie et de s'y accorder[12] pour améliorer la communication, puis le cas échéant, de le guider vers un autre canal, pour l'inviter à développer ses autres capacités ou intégrer des stratégies nouvelles[13].

Sous-modalités

Notes et références

  1. {{#ifeq:Lepineux, 1993|aucune |{{#if: |{{{texte}}} |{{#if: | et al. |{{#if: |, et |{{#if: | et | }} }} }} }} |[[#{{#if:Lepineux, 1993 |Lepineux, 1993 | }}|{{#if: |{{{texte}}} |{{#if: | Modèle:Et al. |{{#if: |, et |{{#if: | et | }} }} }} }}]] }}{{#if: |, }}{{#if:31 |, {{#if: | p. {{{1}}} | p.  }}31 }}.
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  13. Alain Thiry, 2006, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..

Bibliographie

  • Richard Bandler et John Grinder, Les Secrets de la communication, LeJour, {{{lieu}}}, 1982, (ISBN 2-89044102-4).
  • Patrick Butteau, Manager, un véritable jeu avec la PNL, Arnaud Franel, {{{lieu}}}, 1997, (ISBN 2-921843-06-4).
  • Reine Lepineux, Nicole Soleilhac et Andrée Zerah, La Programmation Neuro-Linguistique, Nathan, Paris, 1993, (ISBN 209-120-522-2).
  • Mark E. Furman et Fred P. Gallo, The Neurophysics of Human Behavior, CRC Press, Floride, 2000, (ISBN 978-0849313080).
  • Alain Thiry, Ça y est, j’ai compris !, De Boeck Université, Bruxelles, 2006, (ISBN 2-8041-5240-5).
  • Alain Thiry et Yves Lellouche, Apprendre à apprendre avec la PNL, De Boeck Université, Bruxelles, 2007, (ISBN 978-2-8041-5414-1).
  • Robert Dilts, Modéliser avec la PNL, InterEditions Dunod, Paris, 2004, (ISBN 2-10-008265-5).
  • Isabelle David, France Lafleur et Johanne Patry, Des mots et des Phrases qui transforment, Chenelière/Mc Graw-Hill, Montréal - Canada, 2004, (ISBN 2-89461-669-4).


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