Cadre de contraste

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Le cadre de contraste est une méthodologie de comparaison pour évaluer les ressemblances et/ou différences entre des situations, performances, stratégies... Il sert à relever des corrélations entre des éléments pertinents et une certaine performance.

Il est employé dans la modélisation en PNL de la comparaison de différents contextes de performance d'une ou plusieurs personnes pour identifier les éléments clés (représentations sensorielles, actions, états émotionnels...), ou encore entre un contexte de performance et un autre de non-performance pour identifier la différence qui fait la différence[1] pour pouvoir reproduire la performance.

Le premier niveau d'usage d'un cadre de contraste est la comparaison de 2 TOTE. On peut l'étendre aux valeurs, croyances, méta-programmes, concept de soi...

Cette démarche est proche de la méthode de John Stewart Mill (philosophe)[2]. C'est une démarche logique d'induction. Il est à rappeler qu'un raisonnement d'induction n'assurent pas la validité de ses conclusions. C'est pourquoi en PNL, ces conclusions ne sont que des hypothèses qu'il est question de mettre à l'épreuve de la réalité.

Notes et références

  1. La différence qui fait la différence est une conception de base en PNL. Bateson a donné une conférence avec ce titre en 1969 dans le cadre de General Semantics Conference - cité par Michael Hall dans NLP Secrets p 78.
  2. Robert Dilts, Modéliser avec la PNL, InterEditions, Paris, 2004, p. 66.