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La [[Programmation Neuro-Linguistique]] (PNL) voit le jour dans les années 1970 aux Etats-Unis. On peut distinguer trois périodes dans son développement que Robert Dilts appellera "générations"
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La [[Programmation Neuro-Linguistique]] (PNL) voit le jour dans les années 1970 aux Etats-Unis. On peut distinguer trois périodes dans son développement que Robert Dilts appellera ''"générations"''.
 
* les débuts de la PNL avec la modélisation de grands thérapeutes ainsi que la modélisation de l'expérience subjective, ensuite  
 
* les débuts de la PNL avec la modélisation de grands thérapeutes ainsi que la modélisation de l'expérience subjective, ensuite  
*l'avènement des niveaux logiques avec ses techniques spécifiques et l'organisation qui en découlent, enfin  
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*la "3e génération" avec la quête de sens et la recherche d'impact collectif sur le système.
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Les intervenants en Programmation Neuro-Linguistique voient trois périodes dans l'évolution de leur théorie<ref>Alan Thiry, Ça y est, j'ai compris, de Boeck, 2006, p. 15.</ref>. La première est essentiellement centrée sur la [[Psychothérapie Neuro-Linguistique|psychothérapie]], par les modélisations opérées chez des thérapeutes provenant de disciplines diverses. Au vu de l’importance que ces derniers ont accordé au changement, cette première période a été définie comme {{citation|texte=l'exploration et la transformation du vécu de l’expérience subjective}}<ref>{{Ouvrage|id=Esser, 2004|auteur=Monique Esser, 2004|p=19}}.</ref>. La seconde période de l'histoire de la PNL se caractérise par l'introduction du modèle des [[niveaux logiques]] de [[Robert Dilts]] dans le but de permettre une analyse plus globale des contextes problématiques<ref>Alain Thiry, Ça y est, j'ai compris, de Boeck, 2006, p. 16.</ref>. Une troisième période, enfin, à peine amorcée, correspond à une réflexion sur le sens général de la Programmation Neuro-Linguistique, sur ses applications et sur les changements au sein des groupes sociaux<ref>Thiry,p.7.</ref>.
 
Les intervenants en Programmation Neuro-Linguistique voient trois périodes dans l'évolution de leur théorie<ref>Alan Thiry, Ça y est, j'ai compris, de Boeck, 2006, p. 15.</ref>. La première est essentiellement centrée sur la [[Psychothérapie Neuro-Linguistique|psychothérapie]], par les modélisations opérées chez des thérapeutes provenant de disciplines diverses. Au vu de l’importance que ces derniers ont accordé au changement, cette première période a été définie comme {{citation|texte=l'exploration et la transformation du vécu de l’expérience subjective}}<ref>{{Ouvrage|id=Esser, 2004|auteur=Monique Esser, 2004|p=19}}.</ref>. La seconde période de l'histoire de la PNL se caractérise par l'introduction du modèle des [[niveaux logiques]] de [[Robert Dilts]] dans le but de permettre une analyse plus globale des contextes problématiques<ref>Alain Thiry, Ça y est, j'ai compris, de Boeck, 2006, p. 16.</ref>. Une troisième période, enfin, à peine amorcée, correspond à une réflexion sur le sens général de la Programmation Neuro-Linguistique, sur ses applications et sur les changements au sein des groupes sociaux<ref>Thiry,p.7.</ref>.
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En 1980, [[Robert Dilts]] formalise son modèle dit des « champs unifiés »<ref>Bien que Dilts ait choisi l'appellation « champs unifiés » (à ne pas confondre avec la « théorie des champs unifiés », en physique quantique), c'est celle de « niveaux logiques » qui est couramment utilisée.</ref>, modèle qui s'appuie principalement sur le concept de [[niveaux logiques]] formalisé par [[Gregory Bateson]]. Ce modèle, utilisé par les PNListes sous la dénomination, plus courante, de « niveaux logiques », va donner une organisation globale à tous les acquis de la PNL selon Monique Esser<ref>Monique Esser, 2004|p=19</ref>. Il procure un cadre non seulement à l'analyse d'un problème (comprendre comment différents aspects s'articulent), mais aussi des règles et donc des protocoles pour organiser les différentes actions à mener pour résoudre le problème en profondeur. Ce modèle a permis de classer tous les outils PNL en fonction du niveau où ils interviennent.
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En 1980, [[Robert Dilts]] formalise son modèle dit des « champs unifiés »<ref>Bien que Dilts ait choisi l'appellation « champs unifiés » (à ne pas confondre avec la « théorie des champs unifiés », en physique quantique), c'est celle de « niveaux logiques » qui est couramment utilisée.</ref>, modèle qui s'appuie principalement sur le concept de ''[[niveaux d'apprentissage]]'' formalisé par [[Gregory Bateson]]. Ce modèle, utilisé par les PNListes sous la dénomination, plus courante, de '''« niveaux logiques »''', va donner, selon Monique Esser<ref>{{réf|auteur=Monique Esser|titre=La programmation neuro-linguistique en débat|éditeur=L'Harmattan|lieu=Paris|année=2004|p=19}}</ref>, une organisation globale à tous les acquis de la PNL. Il procure un cadre non seulement à l'analyse d'un problème (comprendre comment différents aspects s'articulent), mais aussi des règles et donc des protocoles pour organiser les différentes actions à mener pour résoudre le problème en profondeur. Ce modèle a permis de classer tous les outils PNL en fonction du niveau où ils interviennent.
  
 
=== Internationalisation ===
 
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Version actuelle datée du 9 décembre 2020 à 14:56

La modélisation a permis de mettre au jour 4 types de techniques PNL.

La Programmation Neuro-Linguistique (PNL) voit le jour dans les années 1970 aux Etats-Unis. On peut distinguer trois périodes dans son développement que Robert Dilts appellera "générations".

  • les débuts de la PNL avec la modélisation de grands thérapeutes ainsi que la modélisation de l'expérience subjective, ensuite
  • l'avènement des niveaux logiques avec ses techniques spécifiques et l'organisation qui en découlent, enfin
  • la "3e génération" avec la quête de sens et la recherche d'impact collectif sur le système.

Les intervenants en Programmation Neuro-Linguistique voient trois périodes dans l'évolution de leur théorie[1]. La première est essentiellement centrée sur la psychothérapie, par les modélisations opérées chez des thérapeutes provenant de disciplines diverses. Au vu de l’importance que ces derniers ont accordé au changement, cette première période a été définie comme l'exploration et la transformation du vécu de l’expérience subjective[2]. La seconde période de l'histoire de la PNL se caractérise par l'introduction du modèle des niveaux logiques de Robert Dilts dans le but de permettre une analyse plus globale des contextes problématiques[3]. Une troisième période, enfin, à peine amorcée, correspond à une réflexion sur le sens général de la Programmation Neuro-Linguistique, sur ses applications et sur les changements au sein des groupes sociaux[4].

Les tout débuts de la PNL[modifier]

Lire aussi : Tout débuts de la PNL

Les débuts : John Grinder et Richard Bandler[modifier]

Si Richard Bandler et John Grinder se sont rencontrés dès 1972, dans le cadre d'activités universitaires[5], c'est seulement à partir de 1973[6] que leur coopération commence. John Grinder, professeur de linguistique à l'université de Santa Cruz de Californie, accepte alors d'aider Richard Bandler, passionné de mathématiques, d'informatique et de psychothérapie et étudiant en 4e année de psychologie au Kresge College de l’Université de Santa Cruz, à formaliser sa pratique en gestalt-thérapie[7].

En 1975, sur la base de la modélisation des aspects linguistiques permis par l'observation de la pratique de Fritz Perls (fondateur de la gestalt-thérapie) et celle de Virginia Satir (pionnière de la thérapie familiale)[8], ils publient le « méta-modèle »[9]. Les aspects linguistiques de ce premier modèle empruntent également aux travaux antérieurs de Grinder sur la grammaire générative et transformationnelle de Noam Chomsky[10] [11]. John Grinder explique ainsi l'importance de l'approche linguistique au sein de la Programmation Neuro-Linguistique : Nous avons constaté que la grammaire transformationnelle avait eu l'influence la plus pénétrante sur la PNL[12].

Au travers des échanges entre l'anthropologue Gregory Bateson et Grinder et Bandler[13], les recherches du groupe interdisciplinaire issu des conférences Macy[14] et le « Projet Bateson »[15]ont influencé la théorie de la Programmation Neuro-Linguistique, notamment dans des présupposés liés au courant cybernétique. Gregory Bateson explique l'avancée permise par la PNL, dans une préface du premier livre de Grinder et Bandler : John Grinder et Richard Bandler ont réalisé quelque chose de similaire à ce que mes collègues et moi-même avons tenté de faire il y a 15 ans... Ils avaient des outils que nous n’avions pas ou que nous n’avons pas vu comment utiliser. Ils ont réussi à faire de la linguistique, une base pour la théorie et, en même temps un outil pour la thérapie. Cela leur donne un double contrôle sur les phénomènes psychiatriques et ils ont fait quelque chose que nous avons été stupides de rater[16].

Gregory Bateson présente par la suite Bandler et Grinder au psychiatre Milton Erickson, fondateur de l’hypnose ericksonienne et considéré comme le père des thérapies brèves. De leur rencontre naît le second modèle en PNL, dit « modèle de Milton »[17],[18]. Ils publient également en 1975 un second ouvrage, intitulé Patterns of the Hypnotic Techniques of Milton H. Erickson Volume I (1975), suivi en 1977 par Patterns of the Hypnotic Techniques of Milton H. Erickson Volume II. Les deux volumes constituent la base théorique du modèle de Milton, destiné à permettre une investigation, par l'utilisation des imprécisions du langage, du niveau inconscient et somatique, plutôt que cognitif, et ce afin de résoudre des difficultés souvent de nature clinique. La précision est apportée par celui qui écoute et non pas par celui qui dit. L'influence de Milton Erickson sur les développements de la Programmation Neuro-Linguistique est réelle et ce dernier reconnaît l'intérêt de la démarche de Bandler et Grinder dans le domaine de l'investigation des savoir-faire des autres : Bien que ce livre de Richard Bandler et John Grinder soit loin d'être une description complète de ma méthodologie, c'est une bien meilleure explication de la manière dont je travaille que celle que je pourrais moi-même fournir. Je sais ce que je fais, expliquer comment je le fais est beaucoup trop difficile pour moi[19].

« L'exploration du vécu subjectif »[modifier]

En 1976, Grinder et Bandler choisissent le nom de « Programmation Neuro-Linguistique » pour désigner leur démarche[20]. Cette dénomination correspond à une volonté de sortir de l'approche linguistique exclusive, en intégrant ce qu'elle nomme l'exploration du vécu subjectif, c'est-à-dire les états internes et la perception sensorielle du sujet. Les créateurs de la PNL cherchent alors à codifier ce vécu subjectif.

L'importance de l'exploration des représentations sensorielles dans l'interaction (aspects verbaux et non verbaux)[21] et du fonctionnement psychique[22] de l'individu (signification des accès oculaires et des synesthésies) survient après l'écriture de The Structure of Magic vol. II[23]. En 1977, Robert Dilts décrit les stratégies dans un article intitulé « EEG and Representationnal system »[24] et aborde la manière dont une personne utilise pour se représenter son expérience[25], c'est-à-dire ce qui est présent dans son esprit et dans son corps pour être dans tel état émotionnel ou pour manifester telle compétence. En 1978, Leslie Cameron-Bandler publie la première articulation de tous les aspects verbaux et non verbaux de ses systèmes de représentation[26]. Une autre synthèse est publiée par Dilts, Grinder, Bandler et Delozier dans Neuro-Linguistic Programming - NLP Volume I en 1980[27].

En 1977, Grinder quitte l'université[28]. Dès lors, les praticiens explorent d'autres disciplines, en conservant les postulats de la Programmation Neuro-Linguistique. Ils développent des applications ou des réflexions dans des domaines aussi divers que la communication, la vente, le management, la créativité, le développement personnel, la pédagogie scolaire ou les relations de couple[29]. En 1979, la première formation certifiante est organisée par Steve et Connirae Andreas et Leslie Cameron[30]. Des techniques de marketing sont utilisées pour la vendre.

Monique Esser rappelle que quatre des cinq premiers livres de Bandler et Grinder sont fondés sur des connaissances scientifiques et sur une épistémologie rigoureuse. Mais, par solution de facilité et par intérêt commercial, les deux auteurs ne font pas de citations dans leurs textes et s'expriment plus par des opinions que par des connaissances, tout en citant toutefois de nombreuses références scientifiques et épistémologiques dans leurs premiers livres. Les références faites à la neuropsychologie sont ainsi constantes. La vidéo (en 1975, la vidéo était une nouvelle technologie de l'enregistrement des comportements) permet une observation répétée et donc plus précise. Elle permet d'observer par conséquent des redondances sur lesquelles les concepteurs font des hypothèses et cherchent à tester la capacité à reproduire ses savoir-faire, par mimétisme, dans la réalité[31]. Par contre, dès la sortie de Grinder de l'université, la majorité des actions se placent dans un cadre commercial où la rigueur scientifique est quelquefois délaissée[32].

Robert Dilts et le modèle des champs unifiés[modifier]

En 1980, Robert Dilts formalise son modèle dit des « champs unifiés »[33], modèle qui s'appuie principalement sur le concept de niveaux d'apprentissage formalisé par Gregory Bateson. Ce modèle, utilisé par les PNListes sous la dénomination, plus courante, de « niveaux logiques », va donner, selon Monique Esser[34], une organisation globale à tous les acquis de la PNL. Il procure un cadre non seulement à l'analyse d'un problème (comprendre comment différents aspects s'articulent), mais aussi des règles et donc des protocoles pour organiser les différentes actions à mener pour résoudre le problème en profondeur. Ce modèle a permis de classer tous les outils PNL en fonction du niveau où ils interviennent.

Internationalisation[modifier]

En 1983, a lieu la première formation certifiante en France animée par l'IFPNL (Institut Français de Programmation Neuro-Linguistique) et en 1985 en Belgique, coorganisée par l'Institut Ressources et l'association Brain Generation, suivi en 1988 de la première formation sur les stratégies PNL d'apprentissage organisée par le centre InterActif.

En 1990, est fondée à Paris la Fédération des associations francophones des certifiés en PNL (NLPNL)[35], qui définit des standards de qualité pour l'obtention de certification. En son sein est rédigé un code de déontologie propre aux enseignants en PNL.

En 1996, est créée la Fédération Allemande de Programmation Neuro-Linguistique (« DVNLP » pour : Deutscher Verband für Neuro-Linguistisches Programmieren). Avec ces 1600 membres en 2009, elle devient la plus importante fédération de Programmation Neuro-Linguistique d'Europe[36]. Si la PNL s'est d'abord développée dans les pays anglo-saxons (États-Unis, Canada, Australie, Angleterre…), on la retrouve actuellement dans de nombreux pays et sur tous les continents (Chine, Arabie, Amérique latine, Russie, Autriche ou Afrique).

En 2001, le Conseil de Psychothérapie du Royaume-Uni a reconnu la psychothérapie neuro-linguistique (PNLt) comme une forme de psychothérapie constructiviste expérimentale[37].

La troisième génération[modifier]

Si la première génération correspond aux débuts de la Programmation Neuro-Linguistique, à la création de ce qui apparaît par les PNListes comme un ensemble de techniques disparates et qui permettraient d'améliorer les compétences du sujet, la seconde est liée à l'arrivée du modèle des niveaux logiques formalisé par le formateur et consultant américain Robert Dilts ; elle apporte une organisation des techniques les unes par rapport aux autres et développe une vue globale des situations en utilisant différents outils destinés à dépasser ses propres limites[38].

Cette troisième génération se caractérise par une démarche plus en profondeur, ou davantage collective. C'est une recherche du sens des rôles endossés durant l'expérience et les situations, de leur importance, ainsi qu'une exploration des changements dans des groupes humains[39]. Robert Dilts appelle ce niveau de changement l'éveil à la conscience par rapport au système[40], c'est-à-dire la conscience d'appartenir à un tout plus vaste que simplement nous et au sens que chacun donnera à sa vie vis-à-vis de cette appartenance. Cette étape est encore à ses débuts.

Cette troisième génération de la Programmation Neuro-Linguistique repose sur le présupposé qu'un système, une organisation, possède les ressources nécessaires à son changement[41]. Il est par conséquent question de créer un contexte approprié pour que le groupe laisse émerger ce changement. Celui-ci ne doit pas être que dans l'intérêt de certains, mais bien générer des bénéfices à tous ceux impactés par l'organisation (le personnel, les actionnaires, les clients mais aussi les fournisseurs…) Il s'agit d'apporter un véritable bénéfice dans le système, au-delà de celui attendu par l'individu et d'enrichir les autres et le monde au travers de soi[42].

Lire aussi[modifier]

Notes et références[modifier]

  1. Alan Thiry, Ça y est, j'ai compris, de Boeck, 2006, p. 15.
  2. Monique Esser, 2004, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..
  3. Alain Thiry, Ça y est, j'ai compris, de Boeck, 2006, p. 16.
  4. Thiry,p.7.
  5. Monique Esser, La programmation neuro-linguistique en débat, L'Harmatan, Paris, 2004, p. 133.
  6. Monique Esser, {{{année}}}, p. 134..
  7. Monique Esser, La PNL en perspective, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2003, p. 12.
  8. Richard Bandler et John Grinder, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 1982, (ISBN {{{isbn}}})., p=13.
  9. Richard Bandler et John Grinder, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 1975, (ISBN {{{isbn}}})., p=40-54.
  10. John Grinder et Suzette Elgin, A Guide to Transformational Grammar - History, Theory, Practice, Holt, Rinehart and Winston, {{{lieu}}}, 1973, (ISBN 0030801265)..
  11. John Grinder Bio Page [1] site=NLP Université (consulté le 9 décembre 2010).
  12. We have stated that Transformational Grammar was the single most pervasive influence on NLP, cité in The Theoretical Fondations [2] sur Neuro-Semantics, (consulté le 9 décembre 2010).
  13. Monique Esser, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2003, (ISBN {{{isbn}}})., p=54.
  14. De 1942 à 1953, Gregory Bateson participe aux « conférences Macy » qui sont considérées être à l'origine du courant cybernétique.
  15. De 1952 à 1962, Gregory Bateson animait un groupe d'étudiants et de chercheurs d'horizons divers. Ils sont à l'origine de l'« approche systémique de la communication ». Cette approche ne doit pas être confondue avec le « MRI » (le Mental Research Institute de Palo Alto), créé en 1959 par Donald deAvila Jackson, qui étudiera les applications des travaux de Bateson dans le domaine de la psychothérapie, sans que celui-ci toutefois n'y intervienne directement - Monique Esser, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})., p=58.
  16. Gregory Bateson, in Richard Bandler et John Grinder, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 1975, (ISBN {{{isbn}}})., « Préface », p. ix-xi.
  17. Le modèle de Milton que les anglophones nomment Milton Modèle, est souvent traduit en français par le terme Milton-Modèle.
  18. Richard Bandler et John Grinder, 1975, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..
  19. Milton Erickson, cité par Connirae Andreas, in Richard Bandler et John Grinder, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2006, (ISBN {{{isbn}}}).« Préambule », p. 12.
  20. Monique Esser, 2003,p. 12
  21. Richard Bandler et John Grinder, 1976, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..
  22. Richard Bandler et John Grinder, 1976, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..
  23. Robert Dilts et Judith Delozier, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2000, (ISBN {{{isbn}}})..
  24. Robert Dilts, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 1983, (ISBN {{{isbn}}})..
  25. Richard Bandler, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 1990, (ISBN {{{isbn}}})..
  26. Leslie Cameron-Bandler, 1978, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..
  27. Robert Dilts et Judith Delozier, 2000, p=1318.
  28. Monique Esser, 2003,p. 12
  29. Jane Turner et Bernard Hévin, 2006, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..
  30. Monique Esser, 2003, p. 12
  31. Claude Marti, « PNL et scientificité », chapitre 3, in Monique Esser, 2004, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..
  32. Monique Esser, 2004, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..
  33. Bien que Dilts ait choisi l'appellation « champs unifiés » (à ne pas confondre avec la « théorie des champs unifiés », en physique quantique), c'est celle de « niveaux logiques » qui est couramment utilisée.
  34. Monique Esser, La programmation neuro-linguistique en débat, L'Harmattan, Paris, 2004, p. 19.
  35. www.nlpnl.eu[3].
  36. Verbandsporträt (Portrait), site de dvnlp.de, consulté le=28 janvier 2011.
  37. L. McDonald, Communication and Mental Illness, Jessica Kingsley Publishers, {{{lieu}}}, 2001, (ISBN 1853027324)..
  38. Robert Dilts, « Préface » in Alain Thiry, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2008, (ISBN {{{isbn}}})..
  39. Thiry,p.7
  40. {{{auteur}}}, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..
  41. Robert Dilts, article paru dans la revue Nouvelles Ressources, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2006, (ISBN {{{isbn}}})..
  42. Dilts, 3G, 2006.