Méta-modèle : Différence entre versions
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− | Dans la littérature PNL, on peut lire une référence aux métamodèle 1, 2 ou 3. Le Métamodèle 1 correspond à sa première formulation (cf. ci-dessus) dans le premier livre de PNL (''The Structure of Magic 1''). Le métamodèle 2 correspond à son usage dans la définition d'un objectif. Le métamodèle 3 correspond à son usage dans la modélisation d'une stratégie ([[TOTE]]). | + | Dans la littérature PNL, on peut lire une référence aux métamodèle 1, 2 ou 3. Le Métamodèle 1 correspond à sa première formulation (cf. ci-dessus) dans le premier livre de PNL (''The Structure of Magic 1''). Le métamodèle 2 correspond à son usage enrichi dans la définition d'un [[objectif]]. Le métamodèle 3 correspond à son usage dans la modélisation d'une stratégie ([[TOTE]]). |
==Notes et références== | ==Notes et références== |
Version du 12 décembre 2018 à 18:44
Méta-modèle |
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NiveauModélisé par : Grinder et Bandler
Niveau auquel elle intervient :
Niveau de formation : Bases
éléments constituantsCadre d'utilisation Questionnement
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Le métamodèle est le tout premier modèle que les fondateurs[1] de la « PNL » ont modélisé[2]. C'est un modèle verbal, basé sur les travaux en linguistique de Noam Chomsky et ceux d'Alfred Korzybski[3].
Il sert d’une part à mettre en évidence les mécanismes utilisés par le sujet pour transformer son expérience sensorielle en langage, et d’autre part à enrichir la conception du monde du sujet par le questionnement des figures linguistiques spécifiques et de retrouver ainsi les représentations mentales sensorielles initiales qui ont suscité l'expression verbale[4].
Le méta-modèle en PNL est constitué de 12 types de violations sémantiques, c'est-à-dire des expressions peu claires. Celles-ci peuvent être regroupées en 3 groupes : les omissions, les généralisations et les distorsions[3]. À chacun de ces types de phrases, correspond une question-clé qui invite le patient à éclaircir l'expression de sa pensée.
Selon Alain Thiry, on peut visualiser le modèle pour l'intégrer plus facilement[5].
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Omissions
Manque d'index référentiel
Manque du comparatif
Verbe non-spécifique
Généralisations
Généralisation simple
Origine perdue
Opérateurs modaux
Distorsions
Lecture de pensée
Faux cause-effet
Présupposé
Métamodèle I, II, III
Dans la littérature PNL, on peut lire une référence aux métamodèle 1, 2 ou 3. Le Métamodèle 1 correspond à sa première formulation (cf. ci-dessus) dans le premier livre de PNL (The Structure of Magic 1). Le métamodèle 2 correspond à son usage enrichi dans la définition d'un objectif. Le métamodèle 3 correspond à son usage dans la modélisation d'une stratégie (TOTE).
Notes et références
- ↑ Publié dans le premier livre de PNL en 1975, Structure of magic.
- ↑ Monique Esser, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2003, (ISBN {{{isbn}}})..
- ↑ Aller à : 3,0 et 3,1 Catherine Cudicio, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 1986, (ISBN {{{isbn}}})..
- ↑ Jane Turner et Bernard Hévin, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2006, (ISBN {{{isbn}}})..
- ↑ Alain Thiry, ça y est, j'ai compris!, De Boeck-supérieur, LLN (Belgique), 2012, p. 60-67.
Bibliographie
- Catherine Cudicio, Comprendre la PNL, Les éditions d'organisation, Paris, 1986, (ISBN 2-70810754-2).
- Monique Esser, La PNL en perspective, Labor, Bruxelles, 2003, (ISBN 978-2-8040-1792-7).
- Jane Turner et Bernard Hévin, Le nouveau Dico-PNL, InterÉditions, Paris, 2006, (ISBN 978-2-10-050385-8).