Méta-modèle : Différence entre versions

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Le '''métamodèle''' est un concept employé en [[informatique]] et en [[Programmation neuro-linguistique|PNL]] (approche en psychologie) et y représente deux sens différents.
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{{modèle:Infobox Technique | modélisateur = Grinder et Bandler | Niveau logique= | Niveau de formation= Bases | éléments constituants= |cadre d'utilisation= Questionnement|}}
  
== Le métamodèle en informatique ==
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Le '''métamodèle''' est le tout premier modèle  que les fondateurs<ref>Publié dans le premier livre de PNL en 1975, ''Structure of magic''.</ref> de la « [[Programmation Neuro-Linguistique|PNL]] » ont [[modélisation en PNL|modélisé]]<ref name="Esser2003,p.12">{{ouvrage|id=Esser, 2003|auteur=Monique Esser|année= 2003|p=12}}.</ref>. C'est un modèle verbal de questionnement, basé sur les travaux en linguistique de [[Noam Chomsky]] et ceux d'[[Alfred Korzybski]]<ref name="Cudicio, 1986,p.51">{{ouvrage|id=Cudicio, 1986|auteur=Catherine Cudicio|année=1986|p=51}}.</ref>.
La notion de métamodèle est utilisée dans trois domaines de l'informatique : en intelligence artificielle, en programmation objet et en génie logiciel.
 
  
En [[intelligence artificielle]], et plus précisément en [[représentation des connaissances]], un métamodèle décrit la structure des modèles et permet de raisonner sur les modèles comme sur les connaissances de premier niveau<ref>R. Davis, « ''{{Langue|en|Meta-Rules: Reasonning About Control}}'', ''{{Langue|en|AI}}'', vol. 15, 1980.</ref>. Certains langages à objets, comme [[Java (langage)|Java]], décrivent de la même manière les classes, les métaclasses et les objets. En [[génie logiciel]], c'est avec [[UML (informatique)|UML]] que la notion de métamodèle a été développée. Le métamodèle décrit les modèles : classes, objets, attributs, relations… et se décrit lui-même.
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Il sert d’une part à mettre en évidence les mécanismes utilisés par le sujet pour transformer son expérience sensorielle en langage, et d’autre part à enrichir la conception du monde du sujet par le questionnement des figures linguistiques spécifiques et de retrouver ainsi les représentations mentales sensorielles initiales qui ont suscité l'expression verbale<ref name="TurnerHevin, 2006,p.99">{{ouvrage|id=TurnerHevin, 2006|auteur=Jane Turner et Bernard Hévin|année= 2006|p=99}}.</ref>.
  
Métamodèle signifie littéralement modèle du modèle. Il peut être défini comme la représentation d'un point de vue particulier sur des modèles. Un métamodèle qui se décrit lui-même est dit réflexif. Cette propriété permet d'avoir une représentation complète des modèles sans régression infinie : modèle, méta-modèle, méta-méta-modèle…
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Le méta-modèle en PNL est constitué de 12 types de violations sémantiques<ref>Michael Hall en présente 22 dans son livre ''Communication Maric'', p 317-320 ; alors que Genie Laborde en présente un modèle simplifié à 5 qu'elle appelle des ''pointeurs'' dans son livre ''Influencer avec Intégrité''.</ref>, c'est-à-dire des expressions peu claires. Celles-ci peuvent être regroupées en 3 groupes : les '''omissions''', les '''généralisations''' et les '''distorsions'''<ref name="Cudicio, 1986,p.51" />. À chacun de ces types de phrases, correspond une question-clé qui invite le patient à éclaircir l'expression de sa pensée.
  
Au-delà de leur diversité, les modèles présentent une caractéristique commune : ils sont des représentations d’un point de vue (d'une conception, d'une théorie…) particulier sur un système sujet d’études. Ils sont écrits dans un code (un langage, un formalisme…) approprié à l'expression et à l'usage des connaissances qu'ils véhiculent.<br/>
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Selon Alain Thiry, on peut visualiser le modèle pour l'intégrer plus facilement<ref>{{réf|auteur=Alain Thiry|titre=ça y est, j'ai compris!|éditeur=De Boeck-supérieur|lieu=LLN (Belgique)|année=2012|p=60-67}}</ref>.
Une carte IGN, une partition musicale, la formule mathématique « ''E''=''mc''² », un logiciel… sont des exemples de modèles. 
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La notion de « [[Modèle]] » est donc directement liée à celles de « [[Formalisme]] », de « Point de Vue/[[Théorie]] » et de « Sujet d'étude/[[Système]] ».
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==Distinctions du méta-modèle==
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===Omissions===
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====Manque d'index référentiel====
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''Les gens...'' -> ''Quels gens ?''
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====Manque du comparatif====
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''C'est mieux !'' -> ''Mieux que quoi ? que qui ? que quand ?''
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====Verbe non-spécifique====
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''Il m'a agressé.'' -> ''Comment spécifiquement t'a-t-il agressé ?''
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====Suppression simple====
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''Il est fâché.'' -> ''Contre qui ? Contre quoi ?''
  
Considérons à son tour la structure ''S'' composée des 4 notions {Sujet d’étude, Formalisme, Point de Vue, Modèle} comme un nouveau sujet d’études, en l’occurrence un métasujet d’études. Il est alors tout à fait concevable et légitime de bâtir des (méta)points de vue sur tout ou partie de ce nouveau sujet d’études et de les représenter par des (méta)modèles exprimés dans des (méta)langages (et ainsi de suite ; cf. « [[Unified Modeling Language|UML]] Four-Layer Architecture » [[Object Management Group|OMG]]).
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===Généralisations===
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====Quantifieurs universels====
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''Tous les ...'' -> ''Tous ? Il n'y en aurait pas un qui soit différent ?''
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====Origine perdue====
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Grande vérité -> ''Qui dit cela ?''
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====Opérateurs modaux====
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''Il faut...'' ou ''Je dois...'' -> ''Et qu'est-ce qui se passerait si tu ne le faisais pas ?''
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====Nominalisation====
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"Le fait d'inverser les nominalisations aide le patient à percevoir ce qu'il considérait comme un événement fini et hors de son contrôle comme un processsus en cours qui peut être modifié."<ref>Bandler & Grinder, La structure de la magie, p 99.</ref>
  
[[Image:Modèles_et_métamodèles.JPG]]
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''La communication...'' -> ''Comment communiquez-vous ?''
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===Distorsions===
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===Lecture de pensée===
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''Il ne m'aime pas.'' -> ''Comment sais-tu cela ?''
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====Faux cause-effet====
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''Parce qu'il ne me le dit jamais'' -> ''En quoi ceci (ne te le dit jamais) prouve-t-il cela (qu'il ne t'aime pas) ?''
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====Equivalence complexe====
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cf. [[Critères#Equivalences complexes|Equivalences complexes]].
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====Présupposé====
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Ce qui peut être sous-entendu derrière ce qui est dit. -> ''Qu'est-ce que tu veux dire quand tu dis ce que tu dis ?''
  
Un '''métamodèle''' peut donc être défini comme la représentation d'un point de vue particulier sur cette structure ''S''.
 
Si on ne s'intéresse dans ''S'' qu'au couple {Langage, Modèle} on rejoint l'acception la plus courante de métamodèle : modèle de langage de description de modèles. Il existe différents [[métalangage]]s permettant l'écriture de tels métamodèles. Parmi ceux-ci on peut citer entre autres le langage BNF ([[forme de Backus-Naur]]) ou le [[Meta-Object Facility|MOF]].
 
  
Si on s'intéresse au couple {Sujet d'études, Point de Vue}, un métamodèle sera la représentation d'une opinion (d'une théorie…) portée sur des points de vue portés sur des sujets d'études (noter la récurrence). L'[[épistémologie]] et l'histoire des Sciences sont des disciplines pourvoyeuses de tels métamodèles.
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==Métamodèle I, II, III==
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Selon Jane Turner & Bernard Hévin<ref>Jane Turner & Bernard Hévin, Le nouveau Dico-PNL, Interéditions, 2006, p 99.</ref>, on peut lire une référence aux métamodèle 1, 2 ou 3. Le Métamodèle 1 correspond à sa première formulation (cf. ci-dessus) dans le premier livre de PNL (''The Structure of Magic 1''). Le métamodèle 2 correspond à son usage enrichi dans la définition d'un [[objectif]]. Le métamodèle 3 correspond à son usage dans la modélisation d'une stratégie ([[TOTE]], [[système de représentation]], [[pattern de langage]], [[sous-modalités]]).
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Par exemple, si quelqu'un emploie le mot "motivation", on peut questionner avec le métamodèle 1, "qui" se motive, "comment" se motive-t-il ?, se motive "par rapport à quoi"?. Alors qu'avec le métamodèle 3, on questionne l'impact sur la motivation de chaque changement de sous-modalités de l'image qu'il a de l'expérience.
  
Les méthodes de conception d'applications et d'architecture informatiques (telles que le [[cycle en V]]), leurs représentations formelles et les logiciels associés relèvent également de la métamodélisation.
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==Les pointeurs de Grinder==
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En 1983, Grinder et McMaster ont créé une version réduite du méta-modèle pour un usage en entreprise.<ref>Michael Hall, ''Communication magic'', 2001, p 156.</ref>
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Ils ont défini 5 ''pointeurs'' :<ref>Genie Laborde décrit ces pointeurs dans son livre ''Influencer avec intégrité''.</ref>
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# Les noms non-spécifiques
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# les verbes non-spécifiques
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# Les quantifieurs universels
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# les comparatifs supprimés
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# les opérateurs modaux.
  
== Le méta-modèle en PNL ==
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==Compréhension à la lecture==
La [[programmation neuro-linguistique]] (PNL) est une démarche en psychologie qui cherche à [[modélisation (PNL)|modéliser]] les [[cognition|compétences cognitives]] et comportementales des humains. Le tout premier modèle que ces concepteurs ont conçu est le « [[Programmation neuro-linguistique#Linguistique|méta-modèle]] » <ref name="Esser2003,p.12">{{harvsp|id=Esser, 2003|texte=Monique Esser, 2003|p=12}}.</ref>. C'est un modèle linguistique, basé sur les travaux de Noam Chomsky et ceux d'Alfred Korzybsky<ref name="Cudicio, 1986,p.51">{{harvsp|id=Cudicio, 1986|texte=Catherine Cudicio, 1986|p=51}}.</ref>.
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Alain Thiry & Fanny Demeulder ont construit à partir du métamodèle un modèle pour améliorer la compréhension à la lecture des phrases de la langue française quelque soit la complexité de leur structure.<ref>Alain Thiry & Fanny Demeulder, ''Améliorer les compétences en lecture grâce à la lecture'', De Boeck Sup, Bruxelles 2023, p 75.</ref>
 
 
Il sert d’une part à mettre en évidence les mécanismes utilisés par le sujet pour transformer son expérience sensorielle en [[langage]], et d’autre part à enrichir la conception du monde du sujet par le questionnement des figures linguistiques spécifiques et de retrouver ainsi les [[représentation mentale|représentations mentale]]s sensorielles initiales qui ont suscité l'expression verbale<ref name="TurnerHevin, 2006,p.99">{{harvsp|id=TurnerHevin, 2006|texte=Jane Turner et Bernard Hévin, 2006|p=99}}.</ref>.
 
 
 
Le méta-modèle en PNL est constitué de 12 types de violations sémantiques, c'est-à-dire des expressions peu claires. Celles-ci peuvent être regroupées en 3 groupes : les omissions, les généralisations et les distorsions<ref name="Cudicio, 1986,p.51" />. À chacun de ces types de phrases, correspond une question-clé qui invite le patient à éclaircir l'expression de sa pensée.
 
  
 
==Notes et références==
 
==Notes et références==
 
<references />
 
<references />
 
== Voir aussi ==
 
=== Article connexe ===
 
* [[Métalangage]]
 
  
 
=== Bibliographie ===
 
=== Bibliographie ===
* Modèles & Métamodèles, Guy Caplat, 2008 {{ISBN|978-2-88074-749-7}}
 
 
* {{Ouvrage|id=Cudicio, 1986|auteur=Catherine Cudicio|année=1986|titre=Comprendre la PNL|éditeur=Les éditions d'organisation|lieu=Paris|isbn=2-70810754-2}}
 
* {{Ouvrage|id=Cudicio, 1986|auteur=Catherine Cudicio|année=1986|titre=Comprendre la PNL|éditeur=Les éditions d'organisation|lieu=Paris|isbn=2-70810754-2}}
 
* {{Ouvrage | id = Esser, 2003 | langue = | prénom1 = | nom1 = | auteur = Monique Esser | titre = La PNL en perspective | numéro d'édition = 2 | lien éditeur = Labor | éditeur = Labor | lieu = Bruxelles | année = 2003 | pages totales = | isbn = 978-2-8040-1792-7 | isbn2 = 2-8040-1792-3 | oclc = 56545419 | passage = | lire en ligne = | plume = oui }}
 
* {{Ouvrage | id = Esser, 2003 | langue = | prénom1 = | nom1 = | auteur = Monique Esser | titre = La PNL en perspective | numéro d'édition = 2 | lien éditeur = Labor | éditeur = Labor | lieu = Bruxelles | année = 2003 | pages totales = | isbn = 978-2-8040-1792-7 | isbn2 = 2-8040-1792-3 | oclc = 56545419 | passage = | lire en ligne = | plume = oui }}
* {{Ouvrage | id = TurnerHevin, 2006 | langue = | prénom1 = | nom1 = | auteurs = Jane Turner et Bernard Hévin | titre = Le nouveau Dico-PNL | sous-titre = Comprendre les mots et les concepts de la PNL | éditeur = InterÉditions | lieu = Paris | année = 2006 | pages totales = | isbn = 978-2-10-050385-8 | isbn2 = 2-10-050385-5 | oclc = 239622833 | passage = | lire en ligne = | plume = oui }}
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* {{Ouvrage | id = TurnerHevin, 2006 | langue = | prénom1 = | nom1 = | auteur = Jane Turner et Bernard Hévin | titre = Le nouveau Dico-PNL | sous-titre = Comprendre les mots et les concepts de la PNL | éditeur = InterÉditions | lieu = Paris | année = 2006 | pages totales = | isbn = 978-2-10-050385-8 | isbn2 = 2-10-050385-5 | oclc = 239622833 | passage = | lire en ligne = | plume = oui }}
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[[Catégorie:Pages]][[Catégorie:Techniques]] [[catégorie:Techniques de base]] [[Catégorie:Techniques de questionnement]] [[Catégorie:Concepts]][[Catégorie:Pédagogie]][[catégorie:Techniques verbales]][[Catégorie:Vidéos]] [[Catégorie:Praticien]]

Version actuelle datée du 28 août 2024 à 20:47

Méta-modèle

Niveau

Modélisé par : Grinder et Bandler
Niveau auquel elle intervient :
Niveau de formation : Bases

éléments constituants

Cadre d'utilisation

Questionnement

Le métamodèle est le tout premier modèle que les fondateurs[1] de la « PNL » ont modélisé[2]. C'est un modèle verbal de questionnement, basé sur les travaux en linguistique de Noam Chomsky et ceux d'Alfred Korzybski[3].

Il sert d’une part à mettre en évidence les mécanismes utilisés par le sujet pour transformer son expérience sensorielle en langage, et d’autre part à enrichir la conception du monde du sujet par le questionnement des figures linguistiques spécifiques et de retrouver ainsi les représentations mentales sensorielles initiales qui ont suscité l'expression verbale[4].

Le méta-modèle en PNL est constitué de 12 types de violations sémantiques[5], c'est-à-dire des expressions peu claires. Celles-ci peuvent être regroupées en 3 groupes : les omissions, les généralisations et les distorsions[3]. À chacun de ces types de phrases, correspond une question-clé qui invite le patient à éclaircir l'expression de sa pensée.

Selon Alain Thiry, on peut visualiser le modèle pour l'intégrer plus facilement[6].

Distinctions du méta-modèle

Omissions

Manque d'index référentiel

Les gens... -> Quels gens ?

Manque du comparatif

C'est mieux ! -> Mieux que quoi ? que qui ? que quand ?

Verbe non-spécifique

Il m'a agressé. -> Comment spécifiquement t'a-t-il agressé ?

Suppression simple

Il est fâché. -> Contre qui ? Contre quoi ?

Généralisations

Quantifieurs universels

Tous les ... -> Tous ? Il n'y en aurait pas un qui soit différent ?

Origine perdue

Grande vérité -> Qui dit cela ?

Opérateurs modaux

Il faut... ou Je dois... -> Et qu'est-ce qui se passerait si tu ne le faisais pas ?

Nominalisation

"Le fait d'inverser les nominalisations aide le patient à percevoir ce qu'il considérait comme un événement fini et hors de son contrôle comme un processsus en cours qui peut être modifié."[7]

La communication... -> Comment communiquez-vous ?

Distorsions

Lecture de pensée

Il ne m'aime pas. -> Comment sais-tu cela ?

Faux cause-effet

Parce qu'il ne me le dit jamais -> En quoi ceci (ne te le dit jamais) prouve-t-il cela (qu'il ne t'aime pas) ?

Equivalence complexe

cf. Equivalences complexes.

Présupposé

Ce qui peut être sous-entendu derrière ce qui est dit. -> Qu'est-ce que tu veux dire quand tu dis ce que tu dis ?


Métamodèle I, II, III

Selon Jane Turner & Bernard Hévin[8], on peut lire une référence aux métamodèle 1, 2 ou 3. Le Métamodèle 1 correspond à sa première formulation (cf. ci-dessus) dans le premier livre de PNL (The Structure of Magic 1). Le métamodèle 2 correspond à son usage enrichi dans la définition d'un objectif. Le métamodèle 3 correspond à son usage dans la modélisation d'une stratégie (TOTE, système de représentation, pattern de langage, sous-modalités). Par exemple, si quelqu'un emploie le mot "motivation", on peut questionner avec le métamodèle 1, "qui" se motive, "comment" se motive-t-il ?, se motive "par rapport à quoi"?. Alors qu'avec le métamodèle 3, on questionne l'impact sur la motivation de chaque changement de sous-modalités de l'image qu'il a de l'expérience.

Les pointeurs de Grinder

En 1983, Grinder et McMaster ont créé une version réduite du méta-modèle pour un usage en entreprise.[9] Ils ont défini 5 pointeurs :[10]

  1. Les noms non-spécifiques
  2. les verbes non-spécifiques
  3. Les quantifieurs universels
  4. les comparatifs supprimés
  5. les opérateurs modaux.

Compréhension à la lecture

Alain Thiry & Fanny Demeulder ont construit à partir du métamodèle un modèle pour améliorer la compréhension à la lecture des phrases de la langue française quelque soit la complexité de leur structure.[11]

Notes et références

  1. Publié dans le premier livre de PNL en 1975, Structure of magic.
  2. Monique Esser, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2003, (ISBN {{{isbn}}})..
  3. 3,0 et 3,1 Catherine Cudicio, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 1986, (ISBN {{{isbn}}})..
  4. Jane Turner et Bernard Hévin, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2006, (ISBN {{{isbn}}})..
  5. Michael Hall en présente 22 dans son livre Communication Maric, p 317-320 ; alors que Genie Laborde en présente un modèle simplifié à 5 qu'elle appelle des pointeurs dans son livre Influencer avec Intégrité.
  6. Alain Thiry, ça y est, j'ai compris!, De Boeck-supérieur, LLN (Belgique), 2012, p. 60-67.
  7. Bandler & Grinder, La structure de la magie, p 99.
  8. Jane Turner & Bernard Hévin, Le nouveau Dico-PNL, Interéditions, 2006, p 99.
  9. Michael Hall, Communication magic, 2001, p 156.
  10. Genie Laborde décrit ces pointeurs dans son livre Influencer avec intégrité.
  11. Alain Thiry & Fanny Demeulder, Améliorer les compétences en lecture grâce à la lecture, De Boeck Sup, Bruxelles 2023, p 75.

Bibliographie

  • Catherine Cudicio, Comprendre la PNL, Les éditions d'organisation, Paris, 1986, (ISBN 2-70810754-2).
  • Monique Esser, La PNL en perspective, Labor, Bruxelles, 2003, (ISBN 978-2-8040-1792-7).
  • Jane Turner et Bernard Hévin, Le nouveau Dico-PNL, InterÉditions, Paris, 2006, (ISBN 978-2-10-050385-8).